samedi 15 novembre 2014

68 études prouvant l'efficacité du cannabis contre le cancer !


Le cancer représente une des principales causes de décès dans les pays industrialisés. Les traitements proposés jusqu’à présent par l’industrie pharmaceutique possèdent hélas pour la plupart une efficacité limitée, accompagnée d’une toxicité importante et d’effets secondaires fortement indésirables. Il est maintenant reconnu depuis longtemps que la plante de cannabis peut aider de manière naturelle à soulager les symptômes du cancer ainsi que ceux causés par la chimiothérapie: réduction de la douleur, des nausées, des vomissements, amélioration de l’appétit, de l’humeur, du sommeil, de la relation avec l’entourage… et l’on sait à quel point la qualité de vie du patient joue un rôle important dans le combat contre la maladie.


Le cannabis, un nouveau traitement efficace contre le cancer (2014) (STFR)

On peut cependant maintenant faire un constat encore plus intéressant : certains cannabinoïdes de la plante de cannabis possèdent une action curative contre plusieurs formes de cancer. De nombreux témoignages de patients sont désormais disponibles sur les réseaux sociaux, notamment aux USA où le cannabis thérapeutique est accessible beaucoup plus facilement qu’en Europe. Les exemples de guérison les plus fréquents concernent des cas de leucémie, ainsi que des tumeurs cérébrales (gliomes), notamment sur des enfants, parfois même des nourrissons.
Mais ces  nombreux témoignages ne peuvent suffire à convaincre la communauté médicale et scientifique, qui nécessite que des études sérieuses confirment ces affirmations. Afin d’y remédier, nous vous proposons cette liste (non exhaustive) de 68 publications scientifiques internationales, issues des meilleurs laboratoires de recherche mondiaux, prouvant l’efficacitédes cannabinoïdes de la plante de cannabis dans le traitement du cancer.
Schéma de l´action des cannabinoïdes contre les cellules cancéreuses.
Schéma de l´action des cannabinoïdes contre les cellules cancéreuses.

Études de l’action des cannabinoïdes contre le Cancer

  • Effets anti-tumeurs du cannabis. Publication actualisée sur le site de l’Institut National du Cancer du gouvernement des États-Unis en Mai 2014.
  • Préparation et caractérisation de microparticules biodégradables chargées en THC, et leur efficacité anti-tumorale sur des lignées de cellules cancéreuses. Étude publiée dans le Journal of Drug Targeting en Septembre 2013.
  • Le système endocannabinoïde: une cible thérapeutique pour réguler la croissance du cancer. Étude publiée dans la revueLife Sciences en Mars 2013.
  • Le Cannabidiol CBD, en tant que médicament anti-cancer potentiel. Étude publiée dans le British Journal of Pharmacology en Février 2013.
  • Les cannabinoïdes en tant que modulateurs contre le cancer. Étude publiée dans la revue Progress in Lipid Research en Janvier 2013.
  • Le CBD inhibe l’angiogenèse via de multiples mécanismes. Étude publiée par le British Journal of Pharmacology en Novembre 2012.
  • Vers l’utilisation de cannabinoïdes en tant qu’agents anti-tumoraux. Étude publiée dans la revue Nature en Juin 2012.
  • Mécanismes de mort cellulaire associés aux cannabinoïdes dans des modèles de tumeurs. Étude publiée dans l’International Journal of Oncology en Mai 2012.
  • Les cannabinoïdes, endocannabinoïdes, et le cancer. Étude publiée dans la revue Cancer Metastasis Reviews en Décembre 2011.
  • Cancer et système endocannabinoïde: implication thérapeutique. Étude publiée dans le British Journal of Pharmacologyen Juillet 2011.
Et si le cannabis guérissait le cancer ? (2010) (FR)

Cannabis contre le Cancer du Cerveau (Gliomes, Glioblastome…)

  • Le Cannabidiol (CBD), un composant non psychoactif du cannabis, inhibe la prolifération et l’invasion des cellules de gliomes de type U87-MG et T98G en agissant sur plusieurs cibles. Étude publiée dans la revue Public Library of Science en Octobre 2013.
  • Le CBD, une nouvelle cible thérapeutique contre le glioblastome. Étude publiée sur le site Cancer Research en Mars 2013.
  • Des microparticules chargées de cannabinoïdes inhibent la croissance des cellules tumorales dans un modèle de glioblastome multiforme. Étude publiée dans le journal Public Library of Science en Janvier 2013.
  • Les cannabinoïdes inhibent la croissance des cellules malignes de gliome humain de type U87MG. Étude publiée dans la revue Oncology Reports en Juillet 2012.
  • Une thérapie préclinique combinée de cannabinoïdes et de Temozolomide contre le gliome. Étude publiée dans le journalMolecular Cancer Therapeutics en Janvier 2011.
  • Le CBD améliore les effets inhibiteurs du THC sur la prolifération et la survie des cellules de glioblastome humain. Étude publiée dans la revue Molecular Cancer Therapeutics en Janvier 2010.
  • Les cannabinoïdes induisent la mort des cellules du gliome humain par autophagie. Étude publiée dans The Journal of Clinical Investigation en Mai 2009.
  • Les cannabinoïdes inhibent l’invasion des cellules du gliome en modulant à la baisse l’expression des
    métalloprotéinases matricielles de type 2. Étude publiée dans le journal Cancer Research en Mars 2008.
  • Les cannabinoïdes et les gliomes, étude publiée sur le site Molecular Neurobiology en Juin 2007.
  • Les cannabinoïdes inhibent la genèse des gliomes. Étude publiée dans le Journal of Biological Chemistry en Mars 2007.
  • Une étude clinique pilote du THC sur des patients atteints d’un glioblastome multiforme récurrent. Les résultats furent publiés dans le British Journal of Cancer en Juin 2006.
  • Le CBD inhibe la migration des cellules de gliome humain grâce à un mécanisme indépendant des récepteurs à cannabinoïdes. Étude publiée dans le British Journal of Pharmacology en Avril 2005.
  • Les cannabinoïdes inhibent la voie du facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (VEGF) dans les gliomes. Étude publiée dans le Journal of Cancer Research en Août 2004.
  • Effets anti-tumeurs du CBD, un cannabinoïde non-psychoactif, sur des lignées de cellules de gliome humain.  Étude publiée dans le Journal of Pharmacology en Novembre 2003.
  • Inhibition de la croissance in vivo du gliome par l’activation sélective du récepteur à cannabinoïdes CB(2). Étude publiée dans le Journal of Cancer Research en août 2001.
Mécanisme d'action des cannabinoides contre les tumeurs cérébrales.
Mécanisme d’action des cannabinoides contre les tumeurs cérébrales.

Cannabis contre le Cancer du Sein

  • Cibler les multiples voies anti-tumeurs des cannabinoïdes mène à l’inhibition des stages avancés du cancer du sein. Étude publiée  dans le British Journal of Pharmacology en Juin 2014.
  • Le CBDA (forme acide du CBD, que l’on retrouve dans la plante fraîche) inhibe la migration des cellules de cancer du sein de type MB-231. Étude publiée dans le journal Toxicology Letters en Novembre 2012.
  • Cannabinoïdes: un nouvel espoir pour la thérapie contre le cancer du sein? Étude publiée dans la revue Cancer Treatment Reviews en Juin 2012.
  • Voies permettant au CBD de réduire la prolifération, l’invasion et la métastase des cellules du cancer du sein. Étude publiée dans le journal Breast Cancer Research and Treatment en Août 2011.
  • Le CBD induit la mort programmée des cellules du cancer du sein en coordonnant la communication entre l’apoptose et l’autophagie. Étude publiée dans la revue Molecular Cancer Therapeutics en Mai 2011.
  • Les cannabinoïdes ralentissent la progression du cancer du sein lié au gène ErbB2. Étude publiée dans le journalMolecular Cancer en Juillet 2010.
  • Le CBD, un nouvel inhibiteur de l’expression du gène Id-1 lié au cancer agressif des seins. Étude publiée dans le journalMolecular Research Therapeutics en Novembre 2007.
  • L’activité anti-tumeur des cannabinoïdes de la plante met l’accent sur l’effet du CBD sur le carcinome du sein. Étude publiée dans le journal de l’American Society for Pharmacology and Experimental Therapeutics en Mai 2006.
  • Le THC inhibe le cycle de progression des cellules de cancer du sein par la régulation du gène Cdc2. Étude publiée dans le journal Cancer Research en Juillet 2006.
Explication de l'action des cannabinoïdes contre les tumeurs mammaires
Explication de l’action des cannabinoïdes contre les tumeurs mammaires

Cannabis contre le Cancer du Sang (leucémies, myélomes, lymphomes..)

  •  Les effets du CBD et sa synergie avec le Bortezomib dans les lignées de cellules de myélome multiple. Étude publiée dans l’International Journal of Cancer en Décembre 2013.
  • Augmenter l’activité du CBD et des autres cannabinoïdes contre la leucémie.  Étude publiée dans le journal Anticancer Research en Octobre 2013.
  • Un extrait de Cannabis pour traiter la leucémie lymphoblastique aiguë à chromosome de Philadelphie. Étude publiée dans la revue Case Reports in Oncology en Septembre 2013.
  • Inhibition de la croissance de cellules de lymphome, par l’activation des récepteurs à cannabinoïdes de type CB1 et CB2. Étude publiée  dans la revue International Journal of Cancer en Juin 2008.
  • Action des cannabinoïdes sur le lymphome à cellules du manteau. Étude publiée dans la revue Molecular Pharmacologyen Novembre 2006.
  • Apoptose des cellules de leucémie de type Jurkat par le THC. Étude publiée dans le journal Molecular Cancer Researchen Août 2006.
  • Cibler les récepteurs à cannabinoïdes CB-2, une nouvelle thérapie pour traiter les maladies lymphoblastiques malignes. Étude publiée dans le journal Blood de l’American Society of Hemmatology en Juillet 2002.
Du cannabis médical pour les enfants ? (2014) (STFR)

Cannabis contre le Cancer du Poumon

  • Les cannabinoïdes augmentent la destruction des cellules du cancer du poumon grâce aux cellules tueuses à lymphokine activée transformée, via la régulation des récepteurs ICAM-1. Étude publiée dans la revue Biochemical Pharmacology en Juillet 2014.
  • Les cannabinoïdes inhibent les capacités d’angiogenèse des cellules endothéliales, par la libération de tissu inhibiteur des métalloprotéinase matricielle de type 1 des cellules de cancer du poumon. Étude publiée dans la revue Biochemical Pharmacology en Juin 2014.
  • Les voies COX-2 et PPAR-γ permettent au CBD d’induire l’apoptose des cellules de cancer du poumon humain. Étude publiée dans la revue Molecular Cancer Therapeutics en Janvier 2013.
  • Le CBD inhibe l’invasion et la métastase des cellules du cancer du poumon, via l’expression de la molécule d’adhésion intercellulaire de type 1. Étude publiée dans le Journal of the Federation of American Societies for Experimental Biologyen Avril 2012.
  • Les récepteurs à cannabinoïdes CB1 et CB2, de nouvelles cibles pour l’inhibition de la croissance et de la métastase des cellules du cancer du poumon non à petites cellules. Étude publiée dans la revue Cancer Prevention Research en Janvier 2011.
  • Le THC inhibe le facteur de croissance épithélial (EGF) de migration des cellules du cancer du poumon en vitro, ainsi que leur croissance et leur métastase in vivo. Étude publiée dans le revue Oncogène en Juillet 2007.
Les cannabinoïdes provoquent l'apoptose de nombreux types de cellules cancéreuses.
Les cannabinoïdes provoquent l’apoptose de nombreux types de cellules cancéreuses.

Cannabis contre le Cancer Colorectal

  • Inhibition de la carcinogenèse du colon par un extrait standardisé de Cannabis Sativa riche en CBD. Étude publiée dans la revue Phytomedecine en Décembre 2013.
  • Effet chimio-protecteur du phytocannabinoïde non-psychotrope CBD dans le cancer du côlon. Étude publiée dans la revueJournal of Molecular Medecine en Août 2012.
  • Les cannabinoïdes contre l’inflammation intestinale et le cancer. Étude publiée dans la revue Pharmacology Research en Août 2009.
  • Action des récepteurs à cannabinoïdes sur la croissance de la tumeur colorectale. Étude publiée par le Cancer Center de l’Université du Texas en Juillet 2008.

 Cannabis contre le Cancer de l’Estomac

  • L’activation des récepteurs à cannabinoïdes en tant que traitement alternatif contre les cellules du cancer de l’estomac résistantes au 5-Fluorouracil. Étude publiée dans le journal Anticancer Research en Juin 2013.
  • Mécanisme anti-prolifératif des cannabinoïdes dans les cellules de cancer de l’estomac humain. Étude publiée dans leJournal of Cellular Biochemistry en Mars 2011.

  Cannabis contre le Cancer de la Prostate

  • Les cannabinoïdes inhibent la croissance du carcinome de la prostate, in vitro et in vivo: effets pro-apoptotiques et mécanismes sous-jacents. Étude publiée dans la revue British Journal of Pharmacology en Décembre 2012.
  • Le rôle des cannabinoides dans le cancer de la prostate: perspective scientifique et applications cliniques potentielles. Étude publiée dans l’Indian Journal of Urology en Janvier 2012.
  • L’induction de l’apoptose des cellules du cancer de la prostate et du colon par les cannabinoïdes, est dépendante de la phosphatase. Étude publiée dans la revue Anticancer Research en Novembre 2011.
Mode d'action des cannabinoïdes contre les cellules tumorales
Mode d’action des cannabinoïdes contre les cellules tumorales

Cannabis contre le Cancer du Foie

  • Implication de la voie PPARγ dans l’action anti tumorale des cannabinoïdes sur le carcinome hépatocellulaire (CHC). Étude publiée dans la revue Cell Death and Disease en Mai 213.
  • Évaluation de l’effet anti-prolifératif des cannabinoïdes sur les cellules d’hépatocarcinome humain. Étude publiée sur le site Informa Healthcare en Février 2013.
  • Action anti-tumorale des cannabinoïdes sur le carcinome hépatocellulaire. Étude publiée dans la revue Cell Death and Differentiation en Avril 2011.

 Cannabis contre le Cancer du Pancréas

  • Les cannabinoïdes inhibent le métabolisme énergétique et induisent l’autophagie des cellules du cancer du pancréas. Étude publiée dans la revue Cell Death and Disease en Juin 2013.
  • Les cannabinoïdes induisent l’apoptose des cellules de tumeur du pancréas. Étude publiée dans la revue Cancer Research en Juillet 2006.


 Cannabis contre le Cancer de la Peau

Du cannabis pour soigner le cancer ? (David Triplett, 2010) (STFR)

Cannabis contre les autres types de Cancer

  • Vessie: Le cannabis réduit les risques de cancer de la vessie. Étude publiée sur le site Medscape en Mai 2013.
  • Sarcome de Kaposi: Le CBD inhibe la croissance et induit la mort cellulaire programmée du sarcome de Kaposi associé à l’infection de l’endothélium par le virus Herpes. Étude publiée dans la revue Genes & Cancer en Juillet 2012.
  • ORL (nez, bouche, gorge, oreilles): Les cannabinoïdes tels que le THC sont capables d’éliminer les cellules de cancer ORL humain. Étude réalisée par le Département de Pédiatrie de l’Université d’Etat de New York, publiée en Juin 2010.
  • Voies biliaires: Le double effet du THC sur les cellules du cholangiocarcinome: activité anti-invasion à faible concentration, et induction de l’apoptose à concentration plus élevée. Étude publiée dans la revue Cancer Investigation en Mai 2010.
  • Ovaires: Les récepteurs à cannabinoïdes en tant que cibles thérapeutiques du cancer des ovaires. Étude publiée sur le site de l’American Association for Cancer Research en 2006.
Pour conclure, nous pouvons remarquer dans ces publications que l’efficacité des cannabinoïdes contre le cancer est dépendante de la dose utilisée : plus celle-ci est élevée, et plus l’action sera importante. Comme il est difficile d’obtenir des concentrations sanguines élevées et constantes de cannabinoïdes en consommant la plante de cannabis de manière classique (fumer, vaporiser..), la plupart des patients utilisent des extractions de cannabinoïdes, la plus célèbre d’entre elle étant connue sous le nom d’huile de cannabis de Rick Simpson.
Efficacité des cannabinoïdes contre le cancer.
Efficacité des cannabinoïdes contre le cancer.
Nous vous conseillons d’utiliser pour vos extractions une variété de cannabis enrichie en CBD, ce cannabinoïde non-psychoactif paraissant être celui qui possède les meilleures propriétés anti-tumorales.
Un grand merci et bravo au groupe de chercheurs de l’équipe du Pr Manuel Guzman de l’Université Complutense de Madrid pour leurs travaux actuels sur l’utilisation des cannabinoïdes contre le cancer. Qu’attend donc la Recherche en France, où cette maladie touche chaque année plus de 350 000 personnes, pour suivre cet exemple espagnol et commencer enfin à rattraper toutes les années de retard accumulées sur ce sujet?!
N’hésitez pas à diffuser largement ces informations dans votre entourage, notamment si vous connaissez des personnes du corps médical (oncologues..), de la recherche contre le cancer, ainsi bien sur qu’à tous ceux qui sont touchés par cette maladie, et qui sont à la recherche d’une thérapie complémentaire naturelle, efficace et sans danger.
Guérison d’une tumeur au cerveau par le Cannabis – Dr William Courtney (2013) (STFR)
Cannabis contre Cancer : THC, CBD, et TMZ (Pr Manuel Guzman) (2014) (STFR)
Cannabis vs Cancer, Interview du Dr Cristina Sanchez (2014) (STFR)
Action du Cannabidiol (CBD) de la plante de cannabis contre le cancer (2014) (FR)

mercredi 29 octobre 2014

Une biologiste moléculaire explique comment le THC tue complètement le cancer

De l’Université Compultense de Madrid, Espagne, le Dr Christina Sanchez a étudié les effets anti-tumoraux du THC, le principal composant psychoactif du cannabis, pendant plus d’une décennie. Elle fournit de l’information saine qui explique exactement comment le THC tue entièrement les cellules cancéreuses – sans effets nocifs sur les cellules saines.

Sa recherche est un complément au travail d’autre, comme le scientifique britannique, Wai Liu, un oncologue de l’Université de l’école de médecine de Saint-George de Londres. La recherche de Liu révèle aussi comment le THC a « une puissante activité anti-cancer, » et peut « cibler et désactiver » les voies qui permettent aux cancers de se développer de manière significative.

Liu souligne que les compagnies pharmaceutiques dépensent des milliards sur des médicaments qui font la même chose, alors que la plante de cannabis le fait naturellement. Dans la vidéo suivante :


le Dr Sanchez explique exactement comment THC fait le sale boulot d’éliminer les cellules cancéreuses en activant les récepteurs cannabinoïdes propres de l’organisme, la création d’endocannabinoïdes. De plus, le cannabis peut le faire sans effets psychoactifs.
« Il y a beaucoup de cancers qui devraient répondre assez bien aux agents du cannabis », a déclaré Liu. « Si vous parlez d’une société pharmaceutique qui a dépensé des milliards de livres en essayant de développer ces nouveaux médicaments qui ciblent ces voies, le cannabis fait exactement la même chose – ou certains éléments des composés du cannabis font exactement la même chose – si vous avez quelque chose qui est naturellement produit et qui a des répercussions sur les mêmes voies que ces fantastiques médicaments qui coûtent des milliards alors travaillont aussi dessus ​​ ».
Cela arrive à un moment important où les états légalisent la marijuana médicale et ou le gouvernement fédéral reçoit la pression de radier le cannabis des drogues illégales.
Une définition archaïque et erronée d’une plante dont les Feds disent «n’a pas de valeur médicinale», même si elles détiennent de nombreux brevets sur la plante…
Les fédéraux se battent toujours contre la marijuana, en dépit d’avoir de nombreux brevets sur la plante.

Brevet US n ° 6.630.507, par exemple, est pour les cannabinoïdes en tant qu’antioxydants et neuroprotecteurs. Serait-ce la raison pour laquelle ils traînent les pieds sur la déclassification de cette plante précieuse ?

En fait, trois scientifiques du ministère de la Santé et des Services sociaux ont déclaré dans l’abstrait – ou un résumé – de leurs résultats soumis avec la demande de brevet :

« Les cannabinoïdes ont prouvés leurs application particulière comme neuroprotectant, par exemple en limitant les dommages neurologiques suivant des lésions ischémiques, tels que l’AVC ou un traumatisme, ou le traitement de maladies neurologiques, comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la démence du VIH. »

Certes, ils savaient qu’il pouvait traiter le cancer aussi.

Dans les textes hindous le cannabis était connu comme une «herbe sacrée. ‘Il a également été utilisé en médecine traditionnelle chinoise depuis des siècles. Le cannabis peut remplacer les médicaments toxiques, et réduire considérablement la douleur. Les études du Dr Sanchez ne font qu’ajouter à la sagesse séculaire qui entoure l’usage médicinal de cette plante phénoménale.

samedi 21 juin 2014

20 PREUVES IRRÉFUTABLES QUE LE CANNABIS SOIGNE LE CANCER

 Sur cet article, je vais vous citer une vingtaine de preuves irréfutables qui démontrent que le cannabis a bel et bien le pouvoir de traiter les cancers. Beaucoup sont certains que ces affirmations sont fausses ou sont des mensonges mais ils seront bien étonnés de voir que, dans le monde, la communauté des médecins commence à approuver l’usage médical du cannabis. Et donc, je vais vous partager ici les sources de ces vingt études, réparties selon le type de cancer ainsi que leur désignation.

De plus en plus de pays dans le monde commencent à légaliser l’usage médical du cannabis; les Etats-Unis (dans certains états dont deux qui ont légalisé son usage récréatif), le Canada, les Pays-Bas, l’Espagne, la France (récemment en Juin – sous conditions strictes), la Suisse, Israël et ainsi que l’Uruguay qui vient de le légaliser entièrement. L’effet boule-de-neige de la légalisation prend effet et ne cesse de croître, et c’est notamment grâce à l’argument tant controversé que le cannabis soigne le cancer que cela a, en grande partie, eu lieu.

Pourquoi intoxiquons-nous dangereusement les patients souffrant d’un cancer avec des substances toxiques tel que des médicaments qui inhibent le développement des cellules, affectant non-seulement la tumeur traitée mais aussi bien tout le corps entier du patient. De ce fait, pour ne pas qu’ils souffrent, on leur donne des analgésiques très puissants, tel que de la morphine et d’autres dérivés similaires qui se révèlent être très dangereux vu les nombreux risques d’overdose, et en outre, leur pouvoir d’addiction qui laissent de nombreuses séquelles. En gros, nous mettons en danger la vie des patients avec des médicaments souvent inefficaces mais très dangereux, limitant davantage les chances de survie du patient.
Le cancer est une des plus grosses épidémies au monde, je suppose que vous connaissez surement un de vos proche qui a déjà été victime de cette maladie désastreuse qui décime énormément de vies. Nous savons bien que les causes du cancer sont principalement le manque d’une hygiène de vie correcte (ne pas fumer, faire du sport, ne pas manger trop gras, …) mais il existe de nombreux cas, ayant un mode de vie sain, qui ont été foudroyés par cette maladie à cause de la pollution, d’accidents de travail (amiante ou radiations), etc…
Et si le cannabis avait été là pour soigner ceux qui souffrent du cancer… Est-ce que les statistiques auraient diminué? Pensez-vous que de nombreuses vies auraient pu être sauvées si nos politiques auraient admis son usage médical? Concernant les coûts de soins de santé, pensez-vous qu’ils auraient pu diminuer drastiquement afin de voir les caisses de la sécurité sociale se remplir davantage? Personnellement, je dirais oui, depuis que le cannabis a été interdit partout dans le monde par un décret de l’ONU, et ce depuis le siècle dernier, de plus en plus de personnes sont touchés par le cancer. De plus, suite à son interdiction, de pertinentes études sur le cannabis n’ont jamais vu le jour et ça a toujours été des études prohibitionnistes dont leur but était de faire peur à la population, de l’éloigner du cannabis, plutôt que de promouvoir son usage médicinal.
Mais comme je l’ai dit plus haut, tout cela a changé, de véritables études ont eu lieu depuis la croissante libéralisation du cannabis et c’est pourquoi j’ai l’honneur de vous les présenter ci-dessous:
Cancer du cerveau:
1. Une étude publiée par le « British Journal of Cancer », dirigée par le département de biochimie et de biologie moléculaire à la Complutense University à Madrid. Cette étude démontre que le tetrahydrocannabinol (THC – la substance active principale du cannabis) ainsi que d’autres cannabinoïdes ont le pouvoir d’inhiber précisément la croissance des cellules cancéreuses. Ils sont aussi responsables d’une première étude clinique visant à évaluer l’action anticancéreuse des cannabinoïdes.
2. Une étude publiée dans « The Journal of Neuroscience », a examiné des évènements biochimiques dans des lésions neuronales aiguës ainsi que dans les maladies neurodégénératives lentement progressives. Ils ont entamé une étude sur des rats, en leur faisant consommer du THC et les images par résonance magnétiques ont démontré que la substance active du cannabis réduit leurs dommages neuronaux. Les résultats de cette étude montre qu’il existe un système cannabinoïde servant à protéger le cerveau d’une éventuelle maladie neurodégénérative.
3. Une étude publiée dans « The Journal of Pharmacology And Experimental Therapeutics », a déjà reconnu le fait que les cannabinoïdes ont montré des propriétés antitumorales. Cette étude a examiné l’effet du cannabidiol (CBD – substance non-psychotrope du cannabis) sur une tumeur gliale. L’addition de cannabidiol à causé une chute dramatique de la viabilité de ce cancer. Cette étude a donc conclu que le CBD à une activité anticancéreuse significative.
4. Une étude publiée dans le journal « Molecular Cancer Therapeutics », cite que les cancers du cerveau sont très résistantes aux chimiothérapies et qu’il est important de trouver une nouvelle alternative de traitement beaucoup plus efficace: le cannabis.
Le cancer du sein
5. Une étude publiée dans le « US National Library of Medicine », dirigée par le « California Pacific Medical Centre ». Cette dernière institution est déterminée sur le fait que le cannabidiol (CBD) inhibe la prolifération et l’invasion du cancer du sein. Ils ont également démontré que le CBD réduit les masses tumorales significativement.
6. Une étude publiée dans « The Journal of Pharmacology and Experimental Therapeutics », démontre que le THC et aussi bien tout les autres cannabinoïdes réduisent considérablement la croissance du cancer du sein. Ils ont également confirmé la potentialité et l’efficacité de ces composants.
7. Une étude publiée dans le « Journal Molecular Cancer », montre que le THC réduit la croissance et la masse de la tumeur. Ils ont déterminé que les cannabinoïdes inhibent la prolifération du cancer en provoquant l’apoptose (destruction programmée des cellules). Cette étude donne d’excellentes preuves concernant l’usage thérapeutique du cannabis pour traiter le cancer du sein.
8. Une étude publiée dans le « Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America (PNAS) », ont déterminé que les cannabinoïdes inhibent la prolifération du cancer du sein.
Le cancer du poumon
9. Une étude publiée dans le journal « Oncogene », par le département universitaire « Harvard Medical Schools Experimental Medicine » ont déterminé que le THC inhibe le facteur de croissance épithéliale causé par la migration des cellules cancéreuses du poumon (et plus encore…). Ils poursuivent en déclarant que le THC devrait être considéré comme une nouvelle molécule thérapeutique ayant le pouvoir de contrôler la croissance et les métastases de certains cancers du poumon.
10. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », par l’Institut de Pharmacologie et de Toxicologie, depuis le Département de Chirurgie Générale en Allemagne, détermine que les cannabinoïdes inhibe l’invasion de cellules cancéreuses.
11. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », dirigée par la Harvard Medical School qui a étudié le rôle des récepteurs cannabinoïdes dans les cellules cancéreuses du poumon. Ils déterminent son efficacité et suggèrent qu’ils devraient être utilisés dans le traitement contre le cancer du poumon.
Cancer de la prostate
12. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », illustrant une diminution des cellules cancéreuses de la prostate grâce à l’action des récepteurs cannabinoïdes.
13. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », souligne de multiples études prouvant l’efficacité du cannabis contre le cancer de la prostate.
14. Une autre étude publiée dans « The US National Library of Medicine », détermine que les études cliniques étudiant le CBD (cannabidiol) contre le cancer de la prostate est très effectif. L’activation des récepteurs cannabinoïdes cause l’apoptose des cellules cancéreuses de la prostate. Ils déterminent que le cannabidiol a significativement inhibé la viabilité des cellules cancéreuses.
Cancer du sang
15. Une étude publiée dans le journal « Molecular Pharmacology », a récemment démontré que les cannabinoides inhibent la croissance et causent l’apoptose des cellules cancéreuses (lymphomes). Cette étude a reçu le soutient de la société suédoise contre le cancer (Swedish Cancer Society), du comité de recherche suédois contre le cancer (The Swedish Research Council) ainsi que de la société contre le cancer dans Stockholm (Cancer Society in Stockholm).
16. Une étude publiée dans « The International Journal of Cancer », a aussi déterminé et illustré que les cannabinoides exercent des effets d’antiprolifération et pro-apoptotiques dans de nombreuses sortes de cancer ainsi que dans les lymphomes.
17. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », dirigée par le département de pharmacologie et de toxicologie de Virginia Commonwealth University, détermine que les cannabinoïdes causent l’apoptose des cellules cancéreuses de la leucémie.
Cancer de la bouche
18. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », démontre que les cannabinoïdes sont de puissants inhibiteurs de la respiration cellulaire et sont toxiques pour les tumeurs malignes de la bouche.
Cancer du foie
19. Une étude publiée dans « The US National Library of Medicine », détermine que le THC réduit la croissance et la viabilité du carcinome hépatocellulaire.
Cancer du pancréas
20. Une étude publiée dans « The American Journal of Cancer », détermine que les récepteurs cannabinoïdes se sont manifestés dans les cellules cancéreuses du pancréas et dans les biopsies de tumeurs à des niveaux plus élevés que dans les tissus normaux du pancréas. Les résultats démontrent que l’administration de cannabinoïdes cause l’apoptose. Ceux-ci réduisent également la croissance des cellules cancéreuses, et inhibent leur prolifération.

jeudi 5 juin 2014

Une variété légale avec bon taux de CDB

Très grande plante, jusqu'à 8 m de hauteur cette plante contiens du CDB

N'oubliez pas de garder le paquet d'origine en cas de contrôle

Voici le lien pour vous la procurer:



dimanche 15 septembre 2013

Cannabis et l'arthrite

Plus de 31 millions d'Américains souffrent d'arthrite. Il existe deux types communs d'arthrite, la polyarthrite rhumatoïde et l'arthrose, mais les deux affectent les articulations, causant douleur et l'enflure, et limitant le mouvement.


Cannabis et l'arthrite

La polyarthrite rhumatoïde est causée par un dysfonctionnement du système immunitaire. Au lieu de combattre les intrus tels que les bactéries ou les virus, le corps attaque les membranes synoviales, qui facilitent le mouvement des articulations, finalement détruire le cartilage et les os érosion. La polyarthrite rhumatoïde est le plus fréquent chez les personnes âgées, dont les systèmes immunitaires ne sont plus aussi robuste ou efficace.L'arthrose, l'arthrite ou des os, se trouve également principalement chez les personnes âgées, où le cartilage a été usé par de nombreuses années d'utilisation. L'arthrite peut aussi se manifester inflammation chronique des articulations à la suite de blessures.


L'usage du cannabis dans le traitement de la douleur musclo-squelettique dans la médecine occidentale remonte aux années 1700. Preuve de la recherche récente suggère que les thérapies à base de cannabis sont efficaces dans le traitement de l'arthrite et l'autre hanche rhumatismales et dégénératives, les troubles des tissus articulaires et conjonctifs. Puisque ce sont des conditions souvent extrêmement douloureuses, les propriétés analgésiques bien documentés de cannabis, il est utile dans le traitement de la douleur associée à l'arthrite, à la fois sur son propre et comme traitement d'appoint qui améliore l'efficacité des analgésiques opioïdes.
Mais cannabis a également été montré pour avoir des propriétés immuno-modulation et anti-inflammatoires puissants, ce qui suggère qu'il pourrait jouer un rôle dans le traitement de l'arthrite, et pas seulement dans la gestion des symptômes. En fait, l'un des premiers enregistrements de l'usage médical du cannabis, un texte chinois datant de ca. 2000 avant JC, note que le cannabis "annule les rhumatismes», suggérant à ses effets anti-inflammatoires ont été connus à l'époque.
La recherche moderne sur le cannabidiol (CBD), une des composantes non-psychoactifs du cannabis, a trouvé qu'il supprime la réponse immunitaire chez les souris et les rats qui est responsable d'une arthrite qui ressemble à de la maladie, en les protégeant des dommages graves à leurs articulations et améliorer nettement leur condition.
Les études humaines ont montré que le cannabis est un traitement efficace pour l'arthrite rhumatoïde, l'une des nombreuses conditions reconnues pour laquelle de nombreux États autorisent l'usage médical légal. Le cannabis a démontré sa capacité à améliorer la mobilité et réduire la raideur matinale et l'inflammation. La recherche a également montré que les patients sont en mesure de réduire leur consommation de médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS potentiellement dangereux) lors de l'utilisation du cannabis comme traitement d'appoint.
Les chercheurs en médecine à l'Université hébraïque de Jérusalem ont découvert que lorsque le cannabidiol est métabolisé, un résultat est la création d'un acide avec une action anti-inflammatoire comparable à l'indométacine de la drogue, mais sans les effets secondaires gastro-intestinaux considérables associés à ce médicament.
En outre, lorsque le corps métabolise le tétrahydrocannabinol (THC), l'un des principaux composants du cannabis, il produit un certain nombre de produits chimiques connexes. Au moins un de ces métabolites a des effets anti-inflammatoires et anti-douleur. En modifiant ce métabolite, des chercheurs de l'Université du Massachusetts Medical Center ont produit un acide carboxylique synthétique appelé CT-3 (aussi appelé DMH-11C, nom diméthylheptyle-THC-11 acide chimique OCI), qui est plus puissant que le métabolite naturel lui-même, et donc ne peut être donnée à des doses plus faibles. essais sur les animaux trouvés CT-3 efficaces contre l'inflammation chronique et aiguë, et il a également empêché la destruction du tissu articulaire de l'inflammation chronique. Le dossier de sécurité à long de la marijuana - personne n'a jamais mort d'une overdose - et le fait que le métabolite avec l'effet anti-inflammatoire désiré est produite dans le corps lors de la marijuana est utilisée, suggère fortement que les médicaments anti-inflammatoires sûrs et efficaces peuvent être développé à partir de cannabinoïdes.
En outre, CT3 a démontré des effets analgésiques chez les animaux. Dans certains cas, l'effet dose-dépendante de THC était équivalent à la morphine, mais avec une plus grande durée d'action.
Contrairement aux AINS de personnes souffrant d'arthrite couramment prescrits, CT3 ne pas causer des ulcères aux doses thérapeutiques pertinentes. En outre, il ne déprime pas la respiration, la dépendance d'exposition, induire une perte de poids corporel ou causer des mutations. Les études sur le mécanisme d'action sont actuellement en cours, avec la synthèse des cytokines une des voies étudiées.
Le cannabis peut également aider à lutter contre la polyarthrite rhumatoïde par ses propriétés immuno-modulation bien connus. La polyarthrite rhumatoïde est caractérisée par une dysrégulation du système immunitaire en réponse à une première infection ou un traumatisme. La sur-activité des lymphocytes B du système immunitaire provoque des anticorps pour attaquer et détruire les tissus synoviaux situés dans l'articulation.
Les propriétés immuno-modulatrices d'un groupe de graisses présentes dans le cannabis connu sous le nom stérols et stérolines ont été utilisés comme des alternatives naturelles aux traitements de l'arthrite rhumatoïde classiques, qui utilisent des médicaments très toxiques pour soit supprimer la totalité de la réponse immunitaire de l'organisme ou de pallier la douleur et le processus inflammatoire sans corriger le dysfonctionnement immunitaire sous-jacent.
Les cytokines jouent un rôle dans les deux alimenter ou de supprimer l'inflammation qui provoque des dommages dans la polyarthrite rhumatoïde et d'autres maladies. La libération de cytokines sélectionnées sont affaiblies par le cannabis, mais les résultats diffèrent selon le type de cellule, les conditions expérimentales, et en particulier la concentration des cannabinoïdes examinés. Une combinaison de stérol / de stéroline a été démontré expérimentalement pour réduire la sécrétion des cytokines pro-inflammatoires contrôlées par les cellules helper TH2 et à augmenter le nombre de cellules auxiliaires de TH qui régulent la sécrétion d'anticorps par les lymphocytes B. Cette activation sélective et à l'inhibition des résultats du système immunitaire est un contrôle efficace de la réponse auto-immunitaire dysfonctionnel.
De même, l'acide ajulémique (un autre cannabinoïde non-psychoactif) a été trouvé par les chercheurs UMass Medical Center pour réduire les dommages des tissus articulaires chez les rats atteints d'arthrite adjuvant. Les tests sur les tissus humains in vitro ont montré effectué une suppression de 50% de l'un des produits chimiques de l'organisme (interleukine-1 bêta) au cœur de la progression de l'inflammation et des lésions tissulaires commune chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde.
Médicaments contre l'arthrite classiques
Près de 100 médicaments sont répertoriés par le site de la Fondation Arthritis pour une utilisation avec l'arthrite ou d'autres affections connexes, comme la fibromyalgie, le psoriasis, l'ostéoporose et la goutte. Ces médicaments comprennent l'aspirine, l'ibuprofène et d'autres analgésiques oraux et topiques douleur sourde.L'analgésique le plus couramment utilisé, le paracétamol (l'aspirine sans Anacin, Excedrin, Panadol, Tylenol) n'est généralement pas associée à des effets indésirables, bien que l'utilisation à long terme de l'acétaminophène est pensé pour être l'une des causes les plus fréquentes de la maladie rénale en phase terminale. . Pour lutter efficacement contre l'arthrite, l'aspirine doit être prise dans les grandes doses continues (1000-5400 mg par jour), ce qui peut causer des douleurs à l'estomac ou des dommages, il serait à l'origine de plus de 1000 décès par an aux Etats-Unis. Pour cette raison, certains médecins prescrivent une des nombreuses variations chimiques appelés salicylates non acétylés, tels que CMT, Tricosal et Trilisate, qui peuvent provoquer une surdité ou des sifflements dans les oreilles dans de grandes doses.
Analgésiques beaucoup plus fortes sont également prescrits pour l'arthrite, parfois avec l'acétaminophène. Ce sont: la codéine (Dolacet, Hydrocet, Lorcet, Lortab); morphine (Avinza, Oramorph); oxycodone (Vicodin, Oxycontin, Roxicodone); propoxyphène (Percocet, Darvon, Darvocet) et le tramadol (Ultram, Ultracet). Ces médicaments peuvent entraîner une dépendance physique et psychologique, ainsi que la constipation, les étourdissements, sautes d'humeur, des nausées, sédation, l'essoufflement et des vomissements. Prenant des doses élevées ou de mélange avec de l'alcool peut ralentir la respiration, une condition potentiellement mortelle.
Les analgésiques ne traitent pas l'inflammation qui peut causer de graves douleurs arthritiques. En cas d'inflammation, les stéroïdes, les AINS et les nouveaux inhibiteurs COX-2 sont prescrits. Corticoïdes(cortisone), des médicaments prednisone et associés peut entraîner des contusions, des cataractes, de sucre élevé dans le sang, l'hypertension artérielle, augmentation de l'appétit, de la maladie .. Pour lutter efficacement contre l'arthrite, l'agitation de l'aspirine, de l'ostéoporose, la susceptibilité à l'infection et la peau fine.
Vingt AINS sont disponibles avec une prescription d'un médecin, avec trois d'entre eux également disponibles sur le comptoir. Ils sont le diclofénac (Arthrotec, Cataflam, Motrin IB, Nuprin); l'indométacine (Indocin),kétoprofène (Orudis); méclofénamate sodium (Meclomen), l'acide méfénamique (Ponstel); méloxicam(Mobic), nabumétone (Relafen); naproxène (Naprosyn, Naprelan); naproxène sodique (Anaprox, Aleve);oxaprozin (Daypro); piroxicam (Feldene); sulindac (Clinoril) et olmetin sodium (Tolectin).
Les effets secondaires des AINS comprennent des crampes abdominales ou de l'estomac, de l'œdème (enflure des pieds), la douleur ou de l'inconfort, diarrhée, étourdissements, somnolence ou des étourdissements, maux de tête, brûlures d'estomac ou indigestion, des nausées ou des vomissements, des ulcères gastriques, irritation de l'estomac, des saignements, la rétention d'eau et une diminution de la fonction rénale. C'est parce que les AINS agissent sur l'arthrite par les prostaglandines inhibitrices, qui protègent la muqueuse de l'estomac, favorisent la coagulation du sang, de réglementer le sel et l'équilibre des fluides, et de maintenir le flux sanguin vers les reins. Les complications gastro-intestinaux des AINS sont indésirables des médicaments les plus fréquemment rapportés indésirable grave, même si les AINS sont signalés à causer plus de 10.000 morts et 100.000 hospitalisations chaque année.
Le plus récent groupe de médicaments contre l'arthrite est connu comme la cyclo-oxygénase-2 (inhibiteurs de la COX-2), qui comprennent Celebrex, Bextra et Vioxx. Ces médicaments ont les mêmes effets secondaires que les AINS, sauf qu'ils sont moins susceptibles de causer des saignements des ulcères d'estomac et augmenter la susceptibilité à des ecchymoses ou des saignements.
AINS non sélectifs ont été associés à un risque accru d'insuffisance cardiaque congestive. Moins on en sait ou a été conclu sur les effets cardiovasculaires de la COX-2 inhibiteurs, même si une analyse rétrospective du risque d'hospitalisation pour insuffisance cardiaque réalisée par l'Institut for Clinical Evaluative Sciences à Toronto, Canada suggère que certains peuvent avoir des effets secondaires graves. L'étude de 130.000 patients âgés ont constaté que ceux utilisant Vioxx avaient un risque accru d'hospitalisation pour insuffisance cardiaque congestive à 80%. Ceux qui utilisent les AINS non sélectifs ont un risque accru de 40%, et ceux qui utilisent Celebrex avait le même taux d'insuffisance cardiaque que les personnes qui n'avaient jamais utilisé AINS.
Antipyrétiques et anti-inflammatoires effets des AINS peuvent masquer les signes et symptômes de l'infection.Leur utilisation peut interférer avec le contrôle pharmacologique de l'hypertension et l'insuffisance cardiaque chez les patients qui prennent des antagonistes bêta-adrénergiques, les inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine ou des diurétiques. L'utilisation à long terme peut endommager la fonction de chondrocytes (cartilage).
Environ 60% des patients répondent à un seul AINS. Environ 10% des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde ne répondra pas à tout AINS. modificateurs de la réponse biologique tels que l'adalimumab (Humira),étanercept (Enbrel), l'infliximab (Remicade), et de l'anakinra (Kineret)) sont prescrits pour soit empêcher ou du supplément les composants du système immunitaire appelées cytokines.
De rares cas de lupus (avec des symptômes tels que éruptions cutanées, de la fièvre et une pleurésie) ont été associés au traitement par adalimumab, étanercept et l'infliximab. Les symptômes de lupus résoudre quand le médicament est arrêté.
La sclérose en plaques a rarement développé chez les patients recevant des modificateurs de la réponse biologique. Des convulsions ont été rapportés avec l'étanercept.
Cannabis: Par comparaison, les effets secondaires liés au cannabis sont généralement bénins et sont classés comme des changements d'humeur euphorique sont parmi les effets secondaires les plus fréquents "à faible risque.». Les cannabinoïdes peuvent aggraver la psychose schizophrénique chez les personnes prédisposées.Les cannabinoïdes entravent les performances cognitives et psychomotrices, entraînant une insuffisance temporaire. L'utilisation chronique peut conduire au développement de la tolérance. Tachycardie et une hypotension sont souvent documentées comme événements indésirables dans le système cardiovasculaire.Quelques cas d'ischémie myocardique ont été signalés chez les jeunes et en bonne santé auparavant patients.L'inhalation de la fumée des cigarettes de cannabis induit des effets secondaires sur le système respiratoire. Les cannabinoïdes sont contre-indiqués chez les patients ayant des antécédents d'ischémie cardiaque. En résumé, un profil de risque faible est évident à partir de la littérature disponible. Les complications graves sont très rares et ne sont généralement pas signalés lors de l'utilisation des cannabinoïdes pour des indications médicales.